William plomb-pied bonne oeil

William Longen est né le 2/02/1971, il mesure 1m70 pour 62kg. Comme son nom l’indique il est le petit frère du président. Petit frère mais plus grand et plus énervé. Il ne tient pas en place et c’est un vrai courant d’air.

1993
1993

Membre fondateur du club en 1993, il fera partie des Hord qui se sont exilés à St Barthélemy durant quelques années. Il en reviendra avec femme et enfant pour s’installer comme plombier sur la région.

 

Déconnecté de la vie en métropole pendant de nombreuses années il mettra du temps à se remettre dans le bain. La vie sur une île de 23 km² n’a rien en commun avec la vie sur le vieux continent. Les règles sont différentes et les gens aussi, il l’a apprit à ses dépends.

Pour ce qui est de la moto, son frère lui a montré le chemin. A ces débuts il s’est essayé avec des sportives de tous poils avec lesquelles il a fait des exploits. On ne compte plus les moteurs qu’il a explosé.

GSXR version HORD
GSXR version HORD

Puis, contre toute attente et en précurseur il a acheté un 1200 shovel qu’il a remis en état en compagnie de son frère et de quelques fanatiques de la marque. Et ceci dans les années ou personne ne voulait de ses machines.

Mais son goût pour la vitesse et les sensations fortes l’on conduit tout droit vers la préparation moteur. Et lors d’un voyage aux States il casse sa tirelire et se fait envoyer un moteur préparé. Carter Delcron, magneto, 1700 de cylindrée, etc,etc.

Quand le moteur arrive, il se rue dessus et le monte dans cette vieille partie cycle de 1200 shovel.

William, c’est du tout venant, il n’y a pas de fioriture. Le seul objectif, c’est que ça marche. Peu importe comment, mais il faut que ça marche.

 

Pour les finitions il faudra repasser plus tard. Quand on est pressé on ne chipote pas sur le superflux.

Il sera de l’équipe qui montera au Cap Nord, son shovel était du voyage mais il n’ira pas plus loin qu’Auxerre. Alors il finira le voyage derrière les autres. Chapeau bas.

Les concentres, il en a fait aussi bien en France qu’à l’étranger. Les Super rally font partie de ses balades préférées, mais il a aussi apprécié l’Ile de Man, les Pingoins, le Kent et le Free Wheel.

Les années passent et il est toujours aussi incorrigible, il continue de casser des moteurs. Il vous raconte ses déboires mécaniques en éclatant de rire et en assumant pleinement ses fautes. Mais bon, c’est la vie et puis c’est son frère qui lui apprit à soigner la mécanique. Alors si vous connaissez Gilou et son 1340, vous pouvez comprendre que c’est normal que son petit frère fasse de la casse de temps en temps.

 

Sans rancune Fabrice.

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